"La tête qui tourne
Les yeux nuages
C'est une senteur désirable
Un gout salé, un gout sucré
Les effluves multicolores
Pleuvent sur les visages"
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Et parce que les oiseaux
Les longs frissons
Les cambrures abîmées
Regrettent les senteurs oubliées
Qu'un si bel astre fôlatre
Assourdissait
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Aller se mêler aux aigles
Ombres chinoises
Et cascades de nuances
Flâner, l'esprit libre
Ni barrières, ni volutes cramées
Respirer
Inspirer
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Les yeux aveugles
Les bouche ouverte
Liberté explosive
Balance toi au son
Des confettis de la vie
Croque les
Gloire aux gencives multicolore
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Rayons de transcendance
Implosés dans le cœur
Gardes tes pupilles à l'abri
Brûles de merveilleux
Goûtes ces vagues argent
Méandres déversés
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Les voix mélangées
Complaintes assorties
Des coeurs séparés
En canon, se réclament
Cris qui transpercent l'espace
Murmure inaudibles
Des coups lacés

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Tourbillon de sens
Vagues naissantes exultantes
Repères semés en volutes
S’expiant des nuées transpirantes
Calme précoce
Sonne l’envoûtement
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A l'heure ou l'encre et les dès sont jetés
Bruisse les feuilles
Chuchote les substituts
De l'ingénus tournis
Et alors que vos corps hurlent
Les feux éteignent le ciel
Teignent les merveilles

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